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Taekira Shitakomi
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♠ Identité de votre personnage Race: Kimyōna C Age: 26 ans Métier: Ancien employé de mairie
| Sujet: C'est par principe Dim 27 Mar - 9:38 | |
| Hôpital de Matsuri, c’est là-bas que Maman est hospitalisée. La dernière fois que je suis allé la voir remonte à maintenant un bon petit bout de temps. Après, bon, que j’aille la voir ou non ne doit surement rien changer pour elle à cause de cette gentille maladie lui faisant presque douter de sa propre identité. J’en connais qui se serait lâchement débarrassé de leur parent en les casant dans un hospice choisi à la va-vite. Dans le fond, nous ne sommes que des hommes, j’pourrais facilement le faire aussi. Mais je me refuse clairement à ce genre de pratique, on ne m’a pas appris les choses comme ça. Je le fais, pour moi, et pour Maman dans un sens au cas où mon visage pourrait lui rappeler quelque chose. Pas beaucoup d’espoir la dessus mais bon, ça me fait très plaisir de voir sa petite tête.
La tête contre la vitre du train qui fonce à toute balle, l’annonce de l’arrivée imminente dans la ville retentit. J’ai tenté de me reposer un peu le temps du trajet en évitant de penser à la situation. La tâche était pas aisée faut l’avouer, et j’ai sombré de fatigue sans m’en rendre compte, ça fait du bien. Le wagon est bien rempli et les gens autour de moi assez nombreux, j’vérifie le contenu de mes poches et je tâte le sac à mes pieds avant l’arrêt. Impossible de l’ouvrir vu ce qu’il contient, et on en devine assez facilement les objets à l’intérieur. La situation est calme pour le moment, pas de soupçons sur des passants ou policier. Un avis de recherche doit être placé sur ma gueule à l’heure qu’il est. Taekira le Kimimachin en fuite. C’était quand même irréfléchi de ma part en y repensant. Mais si je les aurais laissé revenir avec leurs « résultats d’analyses » ? On verra bien, j’fais profil bas de toute manière. La suppression des données me concernant pourra bien les freiner si l’idée leur viendrait de se mettre à ma poursuite.
Nous voilà arrivés. Le sac bien serré dans le dos, le costume sommairement épousseté et tendu. T’es pas un plouc Tawa, bien que tu sois en « cavale », c’est pas une raison pour se laisser aller. Une fois les pieds sur le quai, je me rends compte du passage abondant de la populace dans la gare. C’est assez déconcertant contrairement à Gahara qui est une ville plutôt tranquille mais je suis déjà venu ici et m’attendait plutôt à toute cette foule. Quelques souvenirs s’associent avec les panneaux et les stands que je croise. Si je me souviens bien c’est par- Ah, un panneau indique que la bouche de métro se trouve par-là, parfait.
J’commence à un peu avoir le trac, qui sait ce qui pourrait m’arriver dans c’te grande ville. Sans parler de Ryoku, je prie pour qu’il aille bien. |
| | | Taekira Shitakomi
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♠ Identité de votre personnage Race: Kimyōna C Age: 26 ans Métier: Ancien employé de mairie
| Sujet: Re: C'est par principe Lun 28 Mar - 12:18 | |
| C’est bon, il y a un arrêt de métro tout prêt de l’hosto. Ça facilite la tâche et diminue les chances de me perdre dans cette fourmilière. Si vraiment ça arrive, ça augmenterait certainement mes chances de faire une mauvaise rencontre. Pense pas à ça Tawa, reste concentré. Heureusement que ça manque pas d’indicateur pour savoir où tu te rends dans c’te grande ville. N’empêche que toutes ses lumières, ce trafic donne un certain charme à Matsuri. Mais l’heure n’est pas aux rêveries, j’aperçois le grand bâtiment dont l’image est toujours bien incrustée dans mon esprit, les mains ancrées dans les poches et le regard alerte. Les gens se bousculent dans les rues, et les patrouilles de flics ne manquent pas. Aussi, j’ai cru voir une ou deux caméras en levant un peu les yeux. Maintenant que j’y pense et en étant réaliste, je risque fortement de me faire avoir par l’une d’elle si j’expose trop ma gueule. Après, va savoir comment ces dispositifs fonctionnent. Mais du peu que j’ai pu voir par le passé, le repérage a l’air quasi-systématique. Dieu merci que pour mon mètre quatre-vingt et de ma fine taille je peux me faufiler facilement dans la masse. L’hôpital n’est plus très loin, encore quelques mètres et ses portes s’ouvriront devant moi. Et merde, comment j’ai pu oublier un tel détail. Qu’est-ce que tu peux être con quand t’as envie Tawa. Les portiques de sécurité, impossible de passer avec l’attirail qui pionce dans mon dos. Va falloir trouver un endroit tranquille le temps que j’aille voir Maman pour tout déposer. J’ai pas très confiance ni un bon pressentiment…mais y’a pas le choix. ***
Bon, il y avait une ruelle un peu sale non loin de la bâtisse. Suffisamment fine et lugubre pour y déposer le sac l’air de rien. J’ai bien vérifié si personne n’avait remarqué ma bifurcation avant d’y pénétrer, de même pour les quelques regards indiscrets qui pourraient survenir aux fenêtres. Une dernière fois, je me remémore le court trajet jusqu’à cette petite rue et, cette fois-ci, plus de détour ! Voilà les portiques passés pour arriver maintenant au niveau du guichet, il va me falloir attendre un peu de temps. Il y a une queue relativement longue avant moi, et l’idée d’attendre au mieux de ces gens en blouse blanches courant dans tous les sens et des gardes te zyeutant qui vont me faire me sentir plus rassuré. Enfin bon, j’ai juste à être patient dans le fond. *** Bonjour. Commençai-je en adoptant une mine assez sérieuse. Je viens pour une visite, pourrais-je savoir dans quelle chambre se trouve Madame Shitakomi je vous prie ? Que je termine par un sourire timide. Bonjour. Alors voyons voir… me répondit-elle tout en tapant sur son ordinateur. Chambre numéro quatre cent soixante-quatorze, cinquième étage. Merci bien. Terminai-je d’un petit signe de tête. Excusez-moi ? Que la dame me lance, me coupant net dans mon élan. Oui ? Pourrais-je tout de même avoir votre nom ? Nous nous efforçons de garder une certaine traçabilité au niveau de la fréquentation des patients.Oh, pardon. En effet je n’me suis pas présenté. Je suis son fils, Taekira. Très bien Monsieur, merci à vous. Dernière chose, je ne vous rappelle pas que- Oui, oui. Je vois de quoi vous voulez parler. Si ça ne se passe pas bien je ne resterai pas très longtemps, de toute manière. A votre guise, bonne journée. Vous de même ! Je me dirige vers l’ascenseur en esquivant habilement les personnes, sans pouvoir me retirer de la tête la vision de mon sac. Ce serait vraiment fâcheux que je paume tout ça, ça pourrait tellement me servir. Une fois devant la cage, celle-ci s’ouvre pour me diriger jusqu’au bon étage. Toujours un peu de stress quant au fait de savoir si la rencontre va bien se dérouler mais bon… je n’espère pas des masses. Une fois Taekira patientant dans l’ascenseur, la secrétaire se chargea d’entrer son nom dans la base de données de l’hôpital afin de vérifier les dires de l’homme qu’elle avait aiguillé il y a quelques minutes. A sa surprise, celle-ci se rendit compte qu’il s’agissait d’un individu fiché et recherché par la police. Directement, elle appelle un gardien pour lui montrer sa trouvaille à l’écran. Sans tarder, me voilà propulsé au cinquième et commence à chercher la bonne chambre. Alors… c’est vers la gauche déjà. Trois cent soixante-sept… soixante-neuf… c’est la bonne voie. Je presse le pas en jetant des regards à droite à gauche pour, au bout d’un moment, arriver devant la bonne porte. Allez Tawa, courage. J’souffle un coup, frappe et pousse la porte. |
| | | Taekira Shitakomi
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| Sujet: Re: C'est par principe Mer 30 Mar - 12:50 | |
| Toujours ses grands yeux étonnés, et sa coupe au bol toujours aussi impeccable et ce même à travers le temps. Mon petit doigt me dit qu’elle ne doit probablement pas me reconnaître, mais faisons comme si de rien n’était. Elle me laisse avancer sans rien dire, et prendre place sur le siège à son côté. Gentiment, je lui prends la télécommande des mains pour éteindre la télé et la regarder dans les yeux. Bonjour Maman. Lui dis-je tout en lui prenant doucement la main pour y déposer un petit baiser. Une réaction commence à se dessiner sur son visage. Mon petit Tawa ? Répond-elle en portant son autre main à ma joue. Ca fait très longtemps que tu n’es pas venu me voir. Comment vont tes études ?
Et merde, je m’en doutais. Bon, je vais continuer dans ce sens jusqu’à ce que ça disjoncte et puis je m’en irais après. C’est inutile de rester plus longtemps malheureusement. Je ris un peu nerveusement en gardant les yeux vers le bas pour reprendre. Tout se passe très bien, j’ai obtenu mon diplôme, en plus. Oh, c’est très bien. Je suis fière de toi. Merci...Je n’ai pas grand-chose à dire, en fait. Je savais pertinemment dans le fond de comment ça allait se produire. Mes études, putain. Cette fois-ci m’a bien servi à me faire comprendre une chose. Dans le fond, ma mère n’est plus là. Elle rallume la télé et se remet à visionner le programme, dans un parfait silence. Je la regarde, probablement une dernière fois. Ce qu’elle fait à son tour, pour commencer à tirer un rictus médusé. Excusez-moi ? Savez-vous quand on va m’apporter mes médicaments ? Les yeux écarquillés, j’me rends pas compte de ce qui s’est passé. Pas par ce que ma mère vient d’me dire, nan. C’est surtout le flash qui vient de me venir qui me fout dans cet état. Deux agents de sécurité vont sortir de l’ascenseur d’un instant à l’autre. Impossible que ce soit le coup du hasard, ils montent pour moi. Faut que j’me barre de là, ET VITE ! Euh…quelqu’un va venir d’une minute à l’autre. Lui dis-je en me relevant d’un coup pour prendre la porte. Ils ne sont pas encore là, je presse le pas en bousculant sans faire exprès quelques personnes dans la panique et me place sans retenue dans une chambre proche de l’ascenseur. Un homme d’une quarantaine d’année y est alité et me demande ce que je fais sous peine d’appeler l’infirmière. Je lui demande de ne pas faire de bruit mais forcément que le m’sieur comprend pas et reste braqué sur sa petite menace, mais j’ai vraiment pas le choix là. Pour ne pas prendre de risque, je vais à son chevet pour tirer sur sa petite télécommande histoire de la mettre hors service. Ça lui apprendra, et c’est pas comme si je lui avais débranché sa perche ou mis un poing dans la face. La porte entrouverte, les gardes arrivent et partent directement sur la gauche. C’est le moment où jamais pour filer et monter dans l’ascenseur pendant que les portes sont encore ouvertes. Hop, hop, on s’entasse un peu avec le personnel médical et les quelques civils. Je soupire un coup en essuyant les regards mesquins de certains. Ils veulent quoi les blaireaux ? Pas d’humeur, faut dire que c’est pas la joie d’être traqué comme une chèvre…
Dernière édition par Taekira Shitakomi le Mar 26 Avr - 5:54, édité 1 fois |
| | | Taekira Shitakomi
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♠ Identité de votre personnage Race: Kimyōna C Age: 26 ans Métier: Ancien employé de mairie
| Sujet: Re: C'est par principe Mar 26 Avr - 5:45 | |
| Bon, plus que quelques instants pour me décider. Foutus ascenseurs high-tech, ‘pourraient pas nous balancer moins vite ?! Bref, garde ton calme Tawa, respire calmement et tu vas vite te dégager d’ce bourbier. Passer par le côté du personnel pour emprunter une autre issue serait un peu trop risqué. Mieux vaut que je la joue naturel en sortant par l’entrée principale… Faire comme si de rien, c’est la meilleure chose à faire. Pendant ce temps, à l’étage, les deux agents de sécurité pénètrent dans la chambre de Madame Shitakomi pour inspecter l’armoire, les dessous de lits ainsi que la fenêtre, sait-on jamais au cas où le suspect se serait senti l’âme d’un voltigeur en espérant pouvoir semer ses assaillants par cette voie, mais rien. Pas l’ombre d’un Tawa dans la pièce, faisant déguerpir les gardes totalement perméables face aux questions de la dame. Ils vaudraient mieux pour eux qu’ils fassent vite, chaque secondes augmente le risque que le type se fasse la malle. Forcément, s’il a réussi à le faire auparavant, le refaire reste un cas de figure envisageable. Excusez-moi ? Lance un agent à un infirmier passant à son niveau. Auriez-vous vu passer un homme vêtu d’un simple smoking ? La vingtaine, cheveux noirs et le col débraillé ? Alors là… Attendez, je demande. Misa ?! A ce moment, une jeune femme à quelques mètres se retourne. Viens voir un peu. Qu’il lance à sa collègue d’un petit signe de la main. Ces messieurs ont un petit souci, un jeune homme en costume ça te dit quelque chose ? La sécurité le cherche. Euh… si je ne dis pas d’bêtises j’ai vu un garçon prendre l’ascenseur il y a peu !Et merde. Bien, merci pour l’info. Qu’adressa le vigile avant de se tourner vers son collègue, une main sur la hanche. Faut qu’on les prévienne au rez-de-chaussée.
*** C’est bon, me v’là au premier et la sortie n’est pas très loin. Dernière ligne droite, et j’profite que le personnel médical sorte de la cage pour me mêler un peu à lui et éviter de me faire voir. Au passage, j’adresse un sourire bien faux-cul à la dame à qui j’ai brièvement causé en arrivant pour arriver au niveau des portiques. Et à ce moment, j’sais pas pourquoi mais… j’ai un sale pressentiment. Je tourne légèrement la tête pour capter le regard éloquent entre le type à l’entrée et la nana au comptoir. Nos regards se croisent ensuite entre moi et l’gus, j’avance timidement pour passer le portique quand j’entends le p’tit son bien distinctif des portes d’ascenseur qui s’ouvrent. C’est là que ma tête tourne presque instinctivement pour fixer les personnes en sortant. Ça ouvre, avec les deux types qui sont montés pour m’arrêter en son bord. Ils me captent directement et commence à m’interpeller. « Monsieur ! », « Hey ! », va falloir que j’me décide. Hors de question que j’me fasse attraper par cette bande de connard, mais j’ai cette putain d’impression de perdre mes moyens. Je passe le détecteur pour me retrouver nez à nez avec le garde, la main à la ceinture prêt à m’appréhender. Ils se seront vite passé le mot. Tout l’monde me mate, j’aime pas ça, j’me sens à poil, le stress monte… et le silence s’installe peu à peu dans l’accueil. J’me fais chopper le bras, et j’bouscule le type de toutes mes forces sans réfléchir une seule seconde, c’est sorti tout seul j’ai l’impression. J’avais par contre pas pensé qu’il pouvait avoir une bonne poigne. Résultat j’me pète la gueule avec lui, qui me tient toujours le poignet, mais j’me débats tellement farouchement que j’arrive à me barrer en galérant à me rattraper, faillant m’arracher la gueule contre le sol. C’est bon, j’suis bien remis et peux larguer les bouchées doubles. Mon niveau de panique est tel que je prends même pas la peine d’identifier le nombre de mes poursuivants, qui m’ordonnent sans cesse de m’arrêter. Surtout que j’ai aussi du mal à me souvenir précisément d’où est le sac dans le feu de l’action. Concentre-toi Tawa, bordel. Tu vas pas t’faire avoir, c’est une bande de lourdaud et toi t’as l’avantage d’être jeune et rapide. Je bouscule plusieurs personnes histoire de me frayer un chemin dans cette marmelade humaine pour ensuite repérer le lieu où se trouve mon paquet. Rapide volte-face, les agents de sécu ont l’air un peu paumés dans la foule mais se dirigent toujours vers moi. Fissa, j’emprunte la petite rue pour faucher mes affaires et courir je ne sais où. Tant qu’il y a des rues un peu isolées et des opportunités de me faufiler rapidement, ça passe. Je cours à en perdre haleine, je dégage violemment celui ou celle qui est dans l’passage. Ouais merde, tu vois quelqu’un foncer vers toi tu te décales, putain. J’emprunte une rue à l’abri des regards pour souffler comme un bœuf. Faut dire que j’suis plus habitué à faire du sport, bien que l’adrénaline remplisse foutrement bien son rôle. Inspection du sac, tout y est. Munitions, flingue et la matraque et anciennement un petit papier avec l’adresse du frangin noté dessus, planqué dans le revêtement intérieur. Personne ne fait attention dans les plus grandes allées. La pression redescend lentement, bien que je tremble toujours comme un putain d’mouton. Une clope, ouais une clope. C’est la meilleure chose à faire pour le coup, ma p’tite récompense. J’tire le paquet du sac en peinant à le garder dans la main comme si j’avais Parkinson, l’ouvre et manque de frôler la crise cardiaque l’instant d’après. J’entends une sirène à quelques mètres de moi et laisse le paquet tomber dans la mélasse. Les gyro’ se reflètent contre les murs… Putain, c’est les flics. Ils auront fait vite les enfoirés. J’réfléchis pas et me remet à courir à toute blinde dans le sens inverse dans l’optique de traverser la route, sans regarder les bagnoles. Pas la meilleure idée après réflexion. Je croise une voiture pile au moment où je traverse en courant pour qu’elle pile tout en braquant le volant sur le côté. J’flippe tellement sur le coup que je me fige pour atterrir sur le pare-brise et me rétamer comme une merde sur le côté. Ça fait mal, un acouphène me déchire l’oreille droite, côté du corps qui a majoritairement tapé contre la carlingue. J’rampe du mieux que je peux vers l’autre côté de la rue et des voitures commencent à s’entasser sur la voie. Parfait, la v’là mon issue. Debout, j’me tiens les côtes en boitant en tentant tant bien que mal de mettre la gomme. Les flics se tiennent de l’autre côté en zigzaguant entre les voitures en me demandant de m’arrêter comme des perroquets des îles mais, une fois de plus, j’ai encore pris de l’avance. Direction le métro, l’appartement de Ryoku se trouve dans cette ville. J’aurai peut-être pas l’occasion de le voir ou de remettre les pieds dans l’patelin. Si j’échappe à cette bande d’enragé, je me ferais petit le temps de pouvoir mener ma petite enquête. J’aurai eu de la chance pour le coup, mais comment ce sera après ? Et c’putain de pouvoir bizarre qui en fait qu’à sa gueule. Même pas foutu de m’avertir que j’allai me faire broyer par une caisse, saloperie. Tout ça pour rendre visite à la famille… Pourquoi j’fais ça malgré ma situation bien merdique ? C’est par principe. |
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| Sujet: Re: C'est par principe | |
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